21 novembre 2010, par Claude Briffod
Après une répétition avec une partie de SAD, une autre avec les maskapoppers au complet, ce qui est plus aisé, vu le nombre réduit et le début du Maskapocalypse Tour (le 25 novembre au gervaise).
Deux reprises de SAD parce que se reprendre est un bon moyen d’avoir un comportement correct en toutes circonstances et un son pourri comme le monde qui nous entoure.
En voilà la substance, et quelques rimes en R qu’on m’a égrainées hier, maskapopper, bière, concert, déplaire, calvaire, éphémère, (...)
17 octobre 2010, par Claude Briffod
Le bon coté de la technologie, c’est comme le dirait Hector Rimbaud : "Pouvoir rendre poétique un crachin sur un champ de maïs transgénique".
Tout ceci serait parfait, mais comme chacun, le sait la perfection n’est plus de ce monde, elle est partie vers le milieu du XIXème siècle voir sous d’autres cieux si l’herbe est plus gouteuse.
Chacun le sait mais personne me le dit.
19 septembre 2010, par Claude Briffod
C’est la der avant le grand saut et on s’aperçoit que ce qui reste à faire le sera pendant celui-ci.
Les hypothétiques auditeurs de cette répétition n’auront qu’à se rendre à Nyon le 24 de ce mois pour connaitre la fin de l’histoire.
Happy end ?
Qui s’en soucie ? le temps ne passe-t-il pas sans qu’on s’en rendent compte ou alors seulement lorsque c’est un peu tard pour réagir ? Et le fait de réagir n’est-il pas tout simplement laid ? Ne vaut-il pas mieux être un plancton heureux saturé de fluoxétine (...)
13 septembre 2010, par Claude Briffod
Une nouvelle répète avec un petit (mauvais) gout d’avion piloté par un être à la pilosité exubérante sur fond d’anxiété adrénolytique.
Une tour effondrée, une tour effrontée, trois petits tours et puis s’en vont oula oulala comme dirait boule le méchant chien.
Enfin reste à écouter pour ceux qui la trouve, les autres prendront leur prozac avec tante nadine.
8 septembre 2010, par Claude Briffod
Ou comme un médium de naissance qui aurait 95% de réussite assurée par la grande Ourse.
Ou bien comme l’éléphant dans le chapeau ou une trompe enrhumée, ce qui est fort désagréable car l’important est de se sentir bien ou bon.
Ou encore comme un objet pas à sa place qui illumine le champ de vision comme un astre incongru.